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 5 Questions a se poser sur la vie.

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Darkan
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Darkan


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MessageSujet: 5 Questions a se poser sur la vie.   5 Questions a se poser sur la vie. Icon_minitimeMar 27 Mar 2012 - 11:41

Vu le peu d'activité vidéoludique je vous propose une petite lecture !
On m'a transmis ce texte et je l'ai lu, il m'a vraiment plu. J'ai fait l'effort de prendre les quelques passages biblique qu'il mentionne ainsi que de vérifier certaines références en chiffres(x) (En la recopiant j'ai fait quelques erreurs mais si vous désirez la brochure originale je vous laisse me contacter sur le fofo et je vous donnerai l'adresse pour en avoir une gratuitement). Cela m'a aider a me poser quelques bonnes questions et surtout de trouver de bonnes réponses. Vous vous direz peut-être que cela n'a rien a voir sur un forum de jeux mais tout comme nos jeux sont programés, conçus, réfléchit cela nous donne un bon exemple de ce qu'a du être la conception de notre univers... (pas de patch possible ^^)

Le texte est un peu technique mais pas trop non plus et fait un joli tour d'horizon de ces questions que nous nous posons tous.

Ceux qui veulent bien construire une discussion édifiante je serais heureux de la partager mais ceux qui ne veulent pas batir, passer votre chemin.

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Question 1: Comment la vie a-t-elle commencé ?

Lorsque vous étiez enfant, avez-vous surpris vos parents en leur demandant d’où viennent les bébés ? Si oui, qu’ont-ils répondu ? En fonction de votre âge et de leur personnalité, ils ont peut-être ignoré la question ou donné une brève réponse embarrassée. À moins qu’ils ne vous aient raconté une histoire fantaisiste à laquelle vous avez cru pendant un temps. Évidemment, un enfant doit bien un jour ou l’autre apprendre le phénomène extraordinaire de la reproduction sexuelle.

Tout comme beaucoup de parents sont gênés d’expliquer d’où viennent les bébés, certains scientifiques manifestent peu d’enthousiasme pour débattre d’une question plus fondamentale encore : d’où vient la vie ? Une réponse crédible à cette question peut profondément influencer notre vision de l’existence. Comment la vie a-t-elle donc commencé ?

Que disent de nombreux scientifiques ? Beaucoup de ceux qui croient à l’évolution disent qu’il y a des milliards d’années la vie est apparue au bord d’une cuvette de marée ou au fond de l’océan. Ils pensent que des composés chimiques s’y sont spontanément assemblés en structures bouillonnantes, ont formé des molécules complexes et ont commencé à se répliquer. Ils croient que toute vie sur Terre est apparue par hasard à partir d’une ou plusieurs cellules originelles “ simples ”.

D’autres scientifiques évolutionnistes tout aussi respectés ne sont pas de cet avis. Ils émettent l’hypothèse que les premières cellules, ou du moins leurs composants majeurs, sont venues de l’espace. Pourquoi ? Parce que, malgré tous leurs efforts, les scientifiques ne sont pas parvenus à prouver que la vie peut naître de molécules inertes. En 2008, Alexandre Meinesz, professeur de biologie à l’université de Nice Sophia Antipolis (France), a mis le doigt sur le problème en déclarant relativement aux 50 dernières années : “ Aucune preuve ne permet de valider les hypothèses de l’apparition de la vie sur la Terre à partir du minéral et aucune avancée significative des connaissances scientifiques ne plaide en leur faveur(1).”

Que révèlent les faits ? La réponse à la question sur la provenance des bébés est bien documentée et ne prête pas à controverse. Une vie provient toujours d’une vie préexistante. Cependant, est-il possible que, dans un passé suffisamment éloigné, cette loi fondamentale ait été enfreinte ? La vie a-t-elle pu naître spontanément de substances chimiques inertes ? Quelles en sont les probabilités ?

Les chercheurs ont constaté que, pour qu’une cellule survive, au moins trois types de molécules complexes doivent s’associer : l’ADN (acide désoxyribonucléique), l’ARN (acide ribonucléique) et des protéines. Aujourd’hui, peu de scientifiques affirmeraient qu’une cellule vivante entière s’est soudainement formée par hasard à partir d’un mélange de composés chimiques inanimés. Quelle est donc la probabilité d’une formation accidentelle d’ARN ou de protéines ?

Si de nombreux scientifiques estiment que la vie a pu apparaître par hasard, c’est en raison d’une expérience réalisée pour la première fois en 1953. Cette année-là, Stanley Miller a réussi à produire des acides aminés, les constituants chimiques des protéines, en envoyant des décharges électriques dans un mélange de gaz censé représenter l’atmosphère terrestre primitive. De plus, des acides aminés ont été trouvés depuis dans une météorite. Ces découvertes impliquent-elles que tous les constituants de base du vivant peuvent facilement être produits par le hasard ?

Robert Shapiro, professeur émérite de chimie à l’université de New York, a déclaré : “ Certains ont imaginé que toutes les molécules du vivant pouvaient apparaître dans des conditions similaires à celles de l’expérience de Miller et étaient présentes dans des météorites et d’autres corps extraterrestres. Ce n’est pas le cas(2). ”

Intéressons-nous à la molécule d’ARN. Elle est constituée de molécules plus petites appelées nucléotides. Un nucléotide est une molécule différente d’un acide aminé et un peu plus complexe que celui-ci. D’après M. Shapiro, “ aucun nucléotide n’a été détecté dans les produits d’expériences de décharge électrique ou dans une météorite(3) ”. Il poursuit en expliquant que la probabilité que des composés chimiques s’associent par hasard pour former une molécule d’ARN autoreproductrice “ est si infime que sa réalité n’importe où dans l’Univers, même une seule fois, est inimaginable(4) ”.

Que dire des molécules protéiques ? Elles peuvent être composées de 50 comme de plusieurs milliers d’acides aminés liés entre eux selon un ordre extrêmement précis. Dans une cellule “ simple ”, une protéine fonctionnelle contient en moyenne 200 acides aminés. Or, même dans ce genre de cellule, on trouve des milliers de types de protéines. La probabilité pour qu’une seule protéine ne renfermant pas plus de 100 acides aminés se forme par hasard a été évaluée à un sur un million de milliards.

Hubert Yockey, chercheur évolutionniste, va plus loin en disant : “ Pour ce qui est de l’origine de la vie, il est impossible que les protéines aient apparu en premier(5). ” L’ARN est nécessaire à la formation de protéines, mais les protéines interviennent dans la production de l’ARN. Et si, bien que les chances soient infimes, des protéines et des molécules d’ARN étaient apparues par hasard en même temps au même endroit ? Quelle probabilité y aurait-il pour qu’elles s’associent et constituent une forme de vie autoreproductrice et autonome ? “ La probabilité pour que cela se produise fortuitement (dans un mélange de protéines et d’ARN pris au hasard) paraît infinitésimale, a déclaré Carol Cleland, membre de l’institut d’astrobiologie de la NASA. Pourtant, la plupart des chercheurs semblent supposer que, s’ils arrivaient à comprendre la production indépendante de protéines et d’ARN dans des conditions naturelles primordiales, la question de la coordination se réglerait d’elle-même. ” Au sujet des théories actuelles sur l’apparition accidentelle des molécules du vivant, elle reconnaît : “ Aucune d’elles ne nous a fourni une explication pleinement satisfaisante sur la manière dont cela s’est passé(6). ”

Pourquoi ces faits sont-ils importants ? Réfléchissez à la sérieuse difficulté que rencontrent les chercheurs qui pensent que la vie est apparue par hasard. Ils ont trouvé dans une météorite des acides aminés présents aussi dans les cellules vivantes. Au moyen d’expériences soigneusement préparées et réalisées en laboratoire, ils ont construit d’autres molécules plus complexes. Ils espèrent produire en fin de compte tous les éléments nécessaires à la formation d’une cellule “ simple ”. Leur situation pourrait être comparée à celle d’un scientifique qui prendrait des éléments naturels, les transformerait en acier, en plastique, en silicone et en câbles, fabriquerait un robot, puis le programmerait pour qu’il se réplique. Ce faisant, que prouverait ce scientifique ? Au mieux, qu’un être intelligent peut créer une machine impressionnante.

De même, si des scientifiques arrivaient à fabriquer une cellule, ce serait assurément stupéfiant. Mais prouveraient-ils que la cellule peut se former par hasard ? Ne prouveraient-ils pas plutôt le contraire ?

Qu’en pensez-vous ? À ce jour, tous les faits scientifiques indiquent que la vie provient seulement d’une vie préexistante. Croire que même une cellule vivante “ simple ” a pu naître par hasard de composés chimiques inertes demande une bonne dose de foi.

Au vu des faits, une telle foi vous semble-t-elle raisonnable ? Avant de répondre à cette question, regardez de plus près la façon dont est constituée une cellule. Cela vous aidera à discerner si les théories de certains scientifiques sur l’origine de la vie sont avérées, ou si elles sont aussi fantaisistes que les histoires que racontent parfois les parents pour expliquer d’où viennent les bébés.

Question 2: Existe-t-il vraiment une forme de vie simple ?

Le corps humain est une des structures les plus complexes de l’Univers. Il est formé d’environ cent mille milliards de minuscules cellules, dont des cellules osseuses, sanguines et cérébrales, pour ne citer que quelques-unes(7) des plus de 200 sortes(8.) qui existent.

Malgré leur étonnante diversité de formes et de fonctions, nos cellules constituent un réseau structuré complexe. À côté, Internet avec ses millions d’ordinateurs et de connexions à haut débit fait figure de petit joueur. Aucune invention humaine ne peut rivaliser avec l’excellence technique manifeste dans la plus élémentaire des cellules. Comment les cellules du corps humain sont-elles venues à l’existence ?

Que disent de nombreux scientifiques ? Les cellules se classent en deux grandes catégories : avec ou sans noyau structuré. Celles qui possèdent un noyau (cellules humaines, animales et végétales) sont dites “ eucaryotes ” ; celles qui n’en possèdent pas (cellules bactériennes) sont dites “ procaryotes ”. Les cellules procaryotes étant relativement moins complexes que les eucaryotes, beaucoup pensent que les cellules animales et végétales ont dû évoluer à partir de cellules bactériennes.


D’ailleurs, nombreux sont ceux qui enseignent que, pendant des millions d’années, des cellules procaryotes “ simples ” en ont avalé d’autres sans les digérer. D’après leur théorie, la “ nature ” aveugle a trouvé le moyen non seulement de changer radicalement le fonctionnement des cellules ingérées, mais aussi de garder les cellules adaptées à l’intérieur de la cellule “ hôte ” lorsque celle-ci se répliquait(9).

Que dit la Bible ? Elle déclare que la vie sur Terre est le produit d’une intelligence. Remarquez sa logique claire : “ Toute maison, en effet, est construite par quelqu’un, mais celui qui a construit toutes choses, c’est Dieu. ” (Hébreux 3:4). Un de ses rédacteurs s’adresse à Dieu en ces termes : “ Que tes œuvres sont nombreuses, ô YHWH ! Elles toutes, tu les as faites avec sagesse. La terre est pleine de tes productions. [...] là se meuvent des bêtes sans nombre, des créatures vivantes, tant petites que grandes. ” — Psaume 104:24, 25.

Que révèlent les faits ? Les progrès de la microbiologie ont permis d’explorer l’intérieur impressionnant de la plus simple des cellules procaryotes connues. Des évolutionnistes émettent l’hypothèse que les premières cellules vivantes ressemblaient à ce genre de cellules10.

Si la théorie de l’évolution est vraie, elle doit offrir une explication plausible de la façon dont la première cellule “ simple ” s’est formée par hasard. D’un autre côté, si la vie a été créée, il doit y avoir des indices d’une conception ingénieuse même dans les êtres vivants les plus simples. Que diriez-vous de visiter une cellule procaryote ? Lors de la visite, demandez-vous si elle a pu apparaître par hasard.

UNE PAROI PROTECTRICE
Pour visiter une cellule procaryote, vous devriez rapetisser jusqu’à devenir cent fois plus petit que le point qui termine cette phrase. Une membrane flexible résistante, 10 000 fois plus fine qu’une feuille de papier, vous défend d’y accéder, comme un mur de briques entourant une usine. Mais la membrane d’une cellule est bien plus sophistiquée qu’un mur de briques. Sous quels rapports ?

De même que le mur d’enceinte d’une usine, la membrane d’une cellule protège son contenu d’un environnement potentiellement hostile. Toutefois, cette membrane n’est pas hermétique ; elle permet à la cellule de laisser circuler de petites molécules, notamment l’oxygène. Par contre, elle empêche les molécules nocives, plus complexes, d’entrer sans la permission de la cellule. Elle empêche aussi les molécules utiles à la cellule de sortir. Comment réussit-elle ces tours de force ?

Reprenons l’exemple d’une usine. Aux portes du mur d’enceinte, des agents de sécurité contrôlent parfois l’entrée et la sortie des produits. De façon similaire, des molécules protéiques spéciales fixées sur la membrane de la cellule font office de portes et de gardes.

Il est des protéines qui ont une ouverture en leur milieu par laquelle elles ne laissent passer que certains types de molécules. Il en est d’autres qui sont ouvertes d’un côté de la membrane et fermées de l’autre. Elles ont un quai d’embarquement adapté à la forme d’une substance spécifique. Lorsque cette substance y prend place, l’autre côté de la protéine s’ouvre pour la laisser traverser la membrane. Toute cette activité se déploie à la surface de chaque cellule, même de la plus simple.

À L’INTÉRIEUR
Imaginez : on vous autorise à passer le “ point de contrôle ” et vous êtes maintenant dans la cellule. L’intérieur d’une cellule procaryote est rempli d’une solution aqueuse riche notamment en nutriments et en sels minéraux. La cellule se sert de ces ingrédients de base pour fabriquer ce dont elle a besoin, mais pas de manière désordonnée. À l’image d’une usine dirigée efficacement, la cellule gère des milliers de réactions chimiques qui ont lieu selon un ordre et un minutage précis.

Une cellule consacre beaucoup de temps à fabriquer des protéines. Comment s’y prend-elle ? Au cours de la visite, vous verrez d’abord une cellule préparer une vingtaine de composés de base appelés acides aminés. Ces composés sont apportés aux ribosomes, qui sont comparables à des automates assemblant les acides aminés dans un ordre précis pour former une protéine spécifique. Tout comme le fonctionnement d’une usine peut être régi par un programme informatique central, de nombreuses fonctions d’une cellule sont régies par un “ programme informatique ”, ou code, appelé ADN. L’ADN envoie aux ribosomes des instructions détaillées leur indiquant quelle protéine fabriquer et comment.

Ce qui se passe alors est des plus étonnant ! Chaque protéine se replie en une forme tridimensionnelle unique (Cool. C’est cette forme qui détermine la spécialité de chaque protéine. Représentez-vous une chaîne de production sur laquelle des parties de moteur sont assemblées. Pour que le moteur fonctionne, chacune de ses parties doit être fabriquée avec précision. Pareillement, à moins d’être fabriquée avec précision et d’avoir exactement la forme qui convient, une protéine ne pourra pas effectuer correctement sa tâche et risquera même d’endommager la cellule.

Comment la protéine trouve-t-elle son chemin entre l’endroit où elle a été fabriquée et celui où on a besoin d’elle ? Elle est équipée d’une “ étiquette intégrée ” garantissant sa livraison à la bonne adresse. Bien que, chaque minute, des milliers de protéines soient fabriquées et livrées, toutes arrivent à destination.

Pourquoi ces faits sont-ils importants ? Les molécules complexes des organismes vivants les plus simples ne peuvent se répliquer seules. À l’extérieur de la cellule, elles se désagrègent. À l’intérieur, elles ne se répliquent qu’à l’aide d’autres molécules complexes. Par exemple, des enzymes sont indispensables pour produire une molécule énergétique appelée adénosine triphosphate (ATP), mais l’énergie de l’ATP est indispensable pour produire les enzymes. De même, la fabrication des enzymes nécessite de l’ADN (dont parle la partie 3), mais la fabrication de l’ADN nécessite des enzymes. Par ailleurs, d’autres protéines peuvent être fabriquées uniquement par une cellule, mais une cellule ne peut être fabriquée sans protéines.

Le microbiologiste Radu Popa n’accepte pas le récit biblique de la création. Pourtant, en 2004, il a demandé : “ Comment la nature peut-elle produire la vie alors que nous avons échoué dans des conditions expérimentales contrôlées(13) ? ” Il a également déclaré : “ La complexité des mécanismes requis pour qu’une cellule vivante fonctionne est si grande qu’une émergence simultanée et fortuite paraît impossible(14). ”

Qu'en pensez vous ? La théorie de l’évolution essaie d’expliquer l’origine de la vie sur Terre en écartant la nécessité d’une intervention divine. Cependant, plus les scientifiques en découvrent sur la vie, moins il semble qu’elle ait pu apparaître par hasard. Pour échapper à ce casse-tête, des évolutionnistes aimeraient faire un distinguo entre la théorie de l’évolution et la question de l’origine de la vie. Trouvez-vous cela logique ?

La théorie de l’évolution repose sur l’idée selon laquelle une longue série d’heureux hasards a produit la première forme de vie. Elle postule ensuite qu’une autre série d’événements fortuits a produit la diversité et la complexité stupéfiantes du vivant. Toutefois, si le fondement de la théorie fait défaut, que deviennent les théories bâties dessus ? Tout comme un gratte-ciel sans fondations s’effondrerait, une théorie de l’évolution ne pouvant expliquer l’origine de la vie ne tient pas debout.

Après avoir brièvement examiné la structure et le fonctionnement d’une cellule “ simple ”, que discernez-vous ? Des preuves d’une succession d’événements fortuits ou d’une conception très intelligente ? Si vous n’êtes pas encore sûr, penchez-vous sur le “ programme principal ” qui définit les fonctions de toutes les cellules.

Question 3 : D’où sont venues les instructions ?

Pourquoi êtes-vous tel que vous êtes ? Qu’est-ce qui détermine la couleur de vos yeux, de vos cheveux, de votre peau ? Que dire de votre taille, de votre corpulence ou de votre ressemblance à l’un de vos parents, voire aux deux ? Et qu’est-ce qui fait qu’au bout de vos doigts se trouvent une partie molle d’un côté et un ongle protecteur de l’autre ?

Du temps de Charles Darwin, les réponses à ces questions étaient entourées de mystère. Darwin était fasciné par la transmission des caractéristiques de génération en génération, mais il en savait très peu sur les lois de la génétique et encore moins sur les mécanismes intracellulaires de l’hérédité. Depuis, les biologistes ont passé des décennies à étudier la génétique humaine et les instructions détaillées renfermées dans l’extraordinaire molécule appelée ADN. Bien entendu, la grande question est de savoir d’où sont venues ces instructions.

Que disent de nombreux scientifiques ? Beaucoup de biologistes et d’autres spécialistes estiment que l’ADN et ses instructions codées sont le résultat d’événements fortuits qui se sont produits sur des millions d’années. Ils affirment qu’il n’existe aucune preuve de conception ni dans la structure de cette molécule, ni dans les informations qu’elle comporte et transmet, ni dans son fonctionnement17.

Que dit la Bible ? Selon elle, la formation des différentes parties de notre corps, et même le moment de leur formation, relève d’un “ livre ” d’origine divine. Remarquez ce que le roi David a été inspiré de dire à Dieu à ce sujet : “ Tes yeux ont vu mon embryon, et dans ton livre étaient inscrites toutes ses parties, pour ce qui est des jours où elles furent formées et où il n’y avait pas encore une seule d’entre elles. ” — Psaume 139:16.

Que révèlent les faits ? Si la théorie de l’évolution est vraie, il devrait au moins sembler probable que l’ADN aurait pu apparaître à la suite d’une série d’événements fortuits. Si la Bible dit vrai, alors l’ADN doit donner des preuves convaincantes qu’il est le produit d’une réflexion intelligente et méthodique.

L’ADN est un sujet qui, expliqué en termes simples, peut être compris assez facilement et se révéler captivant. Retournons donc à l’intérieur d’une cellule. Cette fois, nous explorerons une cellule humaine. Imaginez que vous alliez visiter un musée destiné à enseigner comment ce genre de cellule fonctionne. Tout le musée est une maquette d’une cellule humaine grossie 13 000 000 de fois. Il est aussi immense qu’un stade de 70 000 places.

Une fois entré, vous ouvrez de grands yeux devant la profusion de formes et de structures bizarres. Près du centre se trouve le noyau de la cellule, une sphère haute de 20 étages. C’est vers lui que vous vous dirigez.

Vous passez une porte au niveau de l’enveloppe extérieure, ou membrane, du noyau. Vous regardez autour de vous : 46 chromosomes dominent la pièce. Ils sont disposés par paires d’exemplaires identiques. Leur taille varie, mais la paire la plus proche de vous est aussi haute qu’un bâtiment de douze étages. Chaque chromosome est resserré en sa zone médiane. On dirait un chapelet de deux saucisses aussi grosses que des énormes troncs d’arbres. Sur chaque chromosome, vous voyez des bandes horizontales. En vous rapprochant, vous remarquez que chacune est divisée par des lignes verticales reliées entre elles par de petites lignes horizontales. Seraient-ce des piles de livres ? Non, ce sont des boucles compressées en colonnes. Vous tirez sur l’une d’elles, et elle vient de suite. Vous êtes surpris de constater qu’elle est composée de petites torsades soigneusement agencées. Le composant principal de ces torsades ressemble à une très longue corde. De quoi s’agit-il ?

LA STRUCTURE D’UNE MOLÉCULE ÉTONNANTE
Pour simplifier, nous parlerons de cette partie de la maquette d’un chromosome comme d’une corde. Épaisse de 2,5 centimètres, elle est enroulée, bien serrée, autour de cylindres, qui permettent de former d’autres torsades à l’intérieur des torsades. Les torsades sont reliées par une sorte d’échafaudage qui les maintient en place. Un panneau du musée explique que la corde est parfaitement enroulée. Si vous preniez la corde de chaque chromosome de la pièce et que vous mettiez toutes les cordes bout à bout, elles feraient la moitié de la circonférence de la Terre !

Un livre de science qualifie ce système de rangement d’“ extraordinaire prouesse technique(18) ”. L’hypothèse selon laquelle il n’y a pas de technicien derrière cette prouesse vous semble-t-elle crédible ? Si ce musée avait une boutique immense avec des millions d’articles à vendre, tous si bien disposés que vous pourriez facilement trouver tous ceux qu’il vous faudrait, penseriez-vous que personne n’a organisé quoi que ce soit ? Bien sûr que non. Pourtant, un tel ordre ne serait qu’une performance simple en comparaison.

Dans le musée, un panneau vous invite à prendre un bout de corde pour le regarder de plus près. En le faisant rouler entre vos doigts, vous vous rendez compte qu’il ne s’agit pas d’une corde ordinaire. Elle est composée de deux brins tressés, reliés à intervalles réguliers par de petits barreaux. On dirait une échelle tellement vrillée qu’elle ressemble à un escalier en colimaçon. Et là, cela fait tilt dans votre esprit : vous tenez une maquette de la molécule d’ADN, l’un des plus grands mystères du vivant !

Un chromosome est formé d’une seule molécule d’ADN, bien arrangée avec ses cylindres et son échafaudage. Les barreaux de l’échelle sont appelés “ paires de bases ”. Quel est leur rôle ? À quoi tout cela sert-il ? Un panneau donne une explication simplifiée.

LE SYSTÈME DE STOCKAGE D’INFORMATIONS PAR EXCELLENCE
Le secret de l’ADN, lit-on sur le panneau, réside dans les barreaux de l’échelle. Imaginez que les deux montants de l’échelle se dissocient, chacun conservant des demi-barreaux. Il existe seulement quatre sortes de demi-barreaux, nommées A, T, G et C. Les scientifiques ont été stupéfaits de découvrir que l’ordre de ces lettres transmet des informations codées.

Comme vous le savez sans doute, le morse est un code qui a été inventé au XIXe siècle pour communiquer par télégraphe. Son alphabet comportait seulement deux “ lettres ” : un point et un trait. Cependant, on s’en servait pour écrire quantité de mots et de phrases. Eh bien, l’ADN, lui, a quatre lettres (ou bases) : A, T, G et C. L’ordre dans lequel elles apparaissent forme des codons, autrement dit des “ mots ”. Les codons sont agencés en gènes, autrement dit en “ histoires ”. Chaque gène contient en moyenne 27 000 lettres. Ces gènes ainsi que les longs filaments qui les relient sont compilés en une sorte de “ chapitre ” : un chromosome. Chez l’humain, il faut 23 chromosomes pour former un “ livre ” complet : le génome, c’est-à-dire l’ensemble des informations génétiques d’un organisme.

Le génome serait un livre volumineux. Quelle quantité d’informations ce livre renfermerait-il ? Pour tout dire, le génome humain est composé de quelque trois milliards de paires de bases, ou barreaux de l’échelle de l’ADN19. Représentez-vous une encyclopédie dont chaque tome aurait plus de mille pages. Le génome remplirait 428 tomes. Si on y ajoutait le duplicata qui se trouve dans chaque cellule, le nombre de tomes s’élèverait à 856. Pour effectuer la saisie des données du génome, il vous faudrait travailler 80 ans à plein temps, sans prendre de vacances !

Bien entendu, le résultat de vos efforts serait inutile à votre organisme. Comment introduire des centaines de tomes épais dans chacune de vos cent mille milliards de cellules microscopiques ? La compression d’une telle quantité d’informations nous dépasse totalement.

Un professeur en informatique et en biologie moléculaire a fait remarquer : “ Un gramme d’ADN sec occupe un volume de un centimètre cube environ et stocke autant d’informations qu’un millier de milliards de disques compacts(20). ” Qu’est-ce que cela signifie ? Rappelez-vous que l’ADN contient les gènes, les instructions pour bâtir un corps humain unique. Chaque cellule possède une série complète d’instructions. Les informations sont si denses qu’une cuillère à café d’ADN contiendrait les instructions nécessaires à la constitution de 350 fois plus d’humains qu’il n’en vit aujourd’hui ! L’ADN qu’il faudrait pour les sept milliards d’humains que compte la planète ne formerait qu’une fine pellicule sur la cuillère(21).

UN LIVRE SANS AUTEUR ?
Malgré les progrès de la miniaturisation, aucune unité de stockage d’informations n’approche une telle capacité. La comparaison avec un CD reste toutefois intéressante. Nous remarquons sa forme symétrique, sa surface brillante et son excellente conception. Il nous semble évident qu’une personne intelligente l’a fabriqué. D’autant plus si des informations sont gravées dessus — pas n’importe quoi, mais des instructions détaillées et cohérentes sur la construction, l’entretien et la réparation d’un mécanisme complexe. Ces données ne modifient pas le poids ou la taille du CD. Pourtant, elles ont plus d’intérêt que le support lui-même. Ces instructions écrites ne vous convaincraient-elles pas qu’un être intelligent en est à l’origine ? Un écrit ne suppose-t-il pas un rédacteur ?

Il n’est pas tiré par les cheveux de comparer l’ADN à un CD ou à un livre. Du reste, un ouvrage sur le génome constate : “ Comparer le génome à un livre n’est même pas, à strictement parler, une métaphore. C’est la stricte réalité. Un livre est un morceau d’information numérique [...]. C’est cela un génome. ” L’auteur ajoute : “ Le génome est un livre très intelligent : quand les conditions sont réunies, il peut à la fois se photocopier (se dupliquer) et se lire lui-même22. ” Cela nous amène à un autre aspect important de l’ADN.

DES AUTOMATES EN MOUVEMENT
Tandis que vous êtes dans le musée, au calme, vous vous surprenez à vous demander si le noyau d’une cellule reste aussi immobile dans la réalité. Puis vous remarquez une autre exposition. Sur un panneau placé au-dessus d’une vitrine contenant un bout de corde d’ADN, on lit : “ Appuyez sur le bouton pour une démonstration. ” C’est ce que vous faites. Un narrateur explique alors : “ L’ADN a au moins deux tâches importantes à effectuer. La première est la duplication. Il doit être copié pour que chaque nouvelle cellule dispose d’un exemplaire complet des mêmes informations génétiques. Regardez la simulation. ”

Par une porte située à une extrémité de la vitrine arrive un automate qui semble très complexe. Il s’agit en fait de plusieurs robots liés étroitement entre eux. L’automate va jusqu’à l’ADN, s’y attache et commence à se déplacer le long de celui-ci tout comme un train sur une voie ferrée. Il circule un peu trop vite pour que vous discerniez ce qu’il fait exactement, mais vous voyez bien que, derrière lui, il y a maintenant deux cordes au lieu d’une.

Le narrateur reprend : “ C’est une représentation extrêmement simplifiée de ce qui se passe quand l’ADN est dupliqué. Un ensemble d’automates moléculaires appelés enzymes circulent le long de l’ADN, commencent par le diviser en deux, puis utilisent chaque brin comme modèle pour produire un nouveau brin complémentaire. Nous ne pouvons pas vous montrer tous les éléments impliqués, comme le minuscule mécanisme qui, devançant l’automate duplicateur, détache les deux brins d’ADN pour que ceux-ci pivotent librement plutôt que de s’enrouler, trop serrés. Nous ne pouvons pas non plus vous montrer comment les copies de l’ADN sont corrigées plusieurs fois. Les erreurs sont détectées et corrigées à un degré de précision incroyable. ” —

Le narrateur ajoute : “ En revanche, ce que nous pouvons vous montrer clairement, c’est la vitesse. Vous avez sûrement remarqué que le robot allait à folle allure. Eh bien, dans la réalité, les automates que sont les enzymes circulent le long de la ‘ voie ’ de l’ADN à un rythme d’environ 100 paires de bases par seconde(23). Si cette ‘ voie ’ était de la taille d’un chemin de fer, la ‘ locomotive ’ foncerait à plus de 80 kilomètres-heure. Dans les bactéries, ces automates duplicateurs se déplacent dix fois plus vite ! Dans une cellule humaine, ces petits appareils s’activent par centaines le long de l’ADN. Ils dupliquent l’intégralité du génome en seulement huit heures(24). ”

"LECTURE ” DE L’ADN
Les robots duplicateurs d’ADN quittent bruyamment la scène. Un autre automate apparaît. Lui aussi longe une séquence d’ADN, mais plus lentement. Vous voyez la corde entrer dans la machine et en ressortir inchangée du côté opposé. Cependant, un nouveau brin unique sort d’une autre ouverture encore, comme si une queue poussait. Que se passe-t-il ?

Le narrateur poursuit ses explications : “ La deuxième tâche de l’ADN est la transcription. L’ADN ne quitte jamais son abri sûr, le noyau. Comment ses gènes — les recettes pour former toutes les protéines de notre corps — peuvent-ils donc être lus et utilisés ? Eh bien, l’automate à enzymes trouve un endroit le long de l’ADN où un gène a été activé par des signaux chimiques venus de l’extérieur du noyau. Puis il se sert d’une molécule appelée ARN pour dupliquer ce gène. L’ARN ressemble beaucoup à un brin d’ADN, mais il ne faut pas s’y tromper. Sa tâche est de collecter les informations codées dans les gènes. L’ARN les obtient dans l’automate à enzymes, puis sort du noyau et se dirige vers un ribosome, où ces informations serviront à construire une protéine. ”

Cette démonstration vous émerveille. Le musée ainsi que l’ingéniosité de ceux qui l’ont conçu et ont fabriqué ses machines vous fascinent. Et si tout le musée avec ses nombreuses expositions pouvait être mis en branle ? On verrait alors des centaines de milliers de tâches s’effectuer simultanément, comme dans une cellule humaine. Quel spectacle grandiose ce serait !

Vous vous rendez compte que tous ces processus mis en œuvre par de minuscules automates complexes se déroulent à l’instant présent dans vos cent mille milliards de cellules ! Votre ADN est lu, ce qui fournit les instructions pour construire les centaines de milliers de protéines différentes qui forment votre corps : ses enzymes, ses tissus, ses organes, etc. En ce moment même, votre ADN est copié et corrigé de sorte que chaque nouvelle cellule dispose d’un jeu d’instructions tout neuf.

POURQUOI CES FAITS SONT-ILS IMPORTANTS ?
Demandons-nous de nouveau d’où sont venues les instructions. D’après la Bible, l’Auteur de ce “ livre ” d’instructions est suprahumain. Cette conclusion est-elle en décalage avec notre temps et la science ?

Voyons un peu : Des humains pourraient-ils mettre sur pied un musée tel que celui dont nous venons de parler ? S’ils essayaient, ils se heurteraient à de sérieuses difficultés. À ce jour, ce que l’on sait du génome humain et de son fonctionnement est limité. Les scientifiques s’efforcent encore de localiser tous les gènes et de comprendre le rôle de chacun. Pourtant, ceux-ci ne constituent qu’une petite portion du brin d’ADN. Que dire de toutes les longues parties dépourvues de gènes ? Des scientifiques les ont dénommées “ ADN poubelle ”, mais depuis, ils ont revu leur manière de les considérer. Ces éléments détermineraient comment et dans quelles proportions les gènes sont utilisés. Et même si les scientifiques pouvaient fabriquer une réplique complète de l’ADN et des automates qui le copient et le corrigent, seraient-ils capables de la faire fonctionner comme l’original ?

Peu avant sa mort, le grand physicien Richard Feynman a écrit cette pensée sur un tableau : “ Ce que je ne peux pas créer, je ne le comprends pas25. ” Son humilité sincère fait plaisir à voir, et sa déclaration sonne juste dans le cas de l’ADN. Les scientifiques ne peuvent créer un ADN avec tous ses mécanismes de duplication et de transcription, pas plus qu’ils ne peuvent le comprendre pleinement. Pourtant, certains affirment qu’ils savent que tout est apparu par hasard. Les faits que vous avez examinés appuient-ils cette conclusion ?

Des érudits sont convaincus que les faits prouvent le contraire. Par exemple, pour le biologiste Francis Crick, codécouvreur de la structure en double hélice de l’ADN, cette molécule est bien trop organisée pour être apparue fortuitement. Il a avancé l’hypothèse que des extraterrestres intelligents ont dû envoyer de l’ADN sur Terre pour que la vie y naisse(26).

Plus récemment, après avoir préconisé l’athéisme pendant 50 ans, l’éminent philosophe Antony Flew a carrément changé d’optique. À 81 ans, il a commencé à émettre l’idée qu’une certaine intelligence a dû intervenir dans la création de la vie. La cause de cette volte-face ? Une étude de l’ADN. Lorsqu’on lui a demandé si sa nouvelle façon de penser risquait d’être impopulaire auprès des scientifiques, il aurait répondu : “ Tant pis. Toute ma vie a été guidée par le principe [consistant à] suivre les faits avérés, où qu’ils mènent(27). ”

Qu'en pensez-vous ?Où mènent les faits avérés ? Imaginez-vous dans la salle des commandes d’une usine. L’ordinateur exécute le programme principal complexe, dont dépend tout le fonctionnement de l’usine. Ce programme envoie constamment des instructions sur la façon de fabriquer et d’entretenir chaque machine qui s’y trouve, et, qui plus est, il se copie lui-même et se corrige. Où ces faits vous mèneraient-ils ? À la conclusion que l’ordinateur et son programme ont dû se faire tout seuls, ou qu’ils sont le produit d’une réflexion intelligente et méthodique ? Les faits parlent d’eux-mêmes.

Question 4 : Toutes les formes de vie ont-elles un ancêtre commun ?

Darwin pensait que tous les êtres vivants descendent d’un ancêtre commun. Il a imaginé que l’histoire de la vie sur Terre ressemblait à un grand arbre. Par la suite, d’autres ont émis l’idée que cet “ arbre de la vie ” avait un tronc unique représentant les premières cellules simples. Le tronc se ramifiait en de nouvelles espèces et continuait à se diviser en branches : les familles végétales ou animales ; puis en rameaux : toutes les espèces actuelles issues de ces familles. Mais est-ce bien ainsi que les choses se sont passées ?

Que disent de nombreux scientifiques ? Beaucoup laissent entendre que les fossiles appuient la théorie d’une origine commune aux différentes formes de vie. Ils affirment que, puisque tous les êtres vivants emploient le même “ langage de programmation ”, l’ADN, toute vie doit avoir évolué à partir d’un ancêtre commun.

Que dit la Bible ? Le récit de la Genèse déclare que les plantes ainsi que les animaux aquatiques, terrestres et aériens ont été créés “ selon leurs genres ”. (Genèse 1:11, 12, 20-25, note.) Cette formulation autorise une certaine variation au sein d’un même “ genre ”, mais suppose des barrières fixes entre les genres. Si on se base sur le récit biblique de la création, on doit trouver dans les fossiles l’apparition soudaine de nouveaux êtres vivants entièrement formés.

Que révèlent les faits ? Cadrent-ils avec la description biblique des événements, ou Darwin avait-il raison ? Qu’ont révélé les découvertes des 150 dernières années ?

L’ABATTAGE DE L’ARBRE DE DARWIN
Récemment, des scientifiques ont pu comparer les codes génétiques de dizaines d’organismes unicellulaires, ainsi que ceux de végétaux et d’animaux. Ils espéraient que ces comparaisons confirmeraient la ramification de l’“ arbre de la vie ” proposé par Darwin. Toutefois, cela n’a pas été le cas.

À quoi leurs recherches ont-elles abouti ? En 1999, le biologiste évolutionniste Malcolm Gordon a écrit : “ La vie semble avoir eu diverses origines. La base de l’arbre universel de la vie ne semble pas avoir une racine unique. ” Les faits attestent-ils que toutes les branches biologiques principales sont reliées à un même tronc, comme Darwin le croyait ? M. Gordon ajoute : “ La version traditionnelle de la théorie d’une ascendance commune ne s’applique apparemment pas aux règnes tels qu’on les définit aujourd’hui. Elle ne s’applique probablement qu’à peu de phylums, si ce n’est à aucun, voire qu’à très peu de classes à l’intérieur des phylums29. ”

Des recherches récentes continuent de contredire la théorie darwinienne d’une ascendance commune. C’est ainsi qu’en 2009 un article de New Scientist citait cette déclaration de l’évolutionniste Éric Bapteste, biologiste à l’université Pierre et Marie Curie de Paris : “ Nous n’avons absolument aucune preuve que l’arbre de la vie soit une réalité(30). ” Le même article reprenait les propos de Michael Rose, autre biologiste évolutionniste : “ L’arbre de la vie est poliment enterré, nous le savons tous. Ce qui est moins accepté, c’est qu’il est nécessaire de changer toute notre conception fondamentale de la biologie(31). ”

QUE RÉVÈLENT LES FOSSILES ?
De nombreux scientifiques font appel aux fossiles pour asseoir l’idée que toutes les formes de vie ont une origine commune. Ils soutiennent par exemple que les fossiles attestent la transformation des poissons en amphibiens et des reptiles en mammifères. Mais qu’indiquent réellement les archives fossiles ?

David Raup, paléontologue évolutionniste, explique : “ Au lieu de constater un développement graduel de la vie, les géologues du temps de Darwin et les géologues actuels ont en fait trouvé des témoignages extrêmement irréguliers et discontinus ; autrement dit, des espèces apparaissent soudainement dans la chaîne évolutive, changent peu ou pas du tout au cours de leur existence dans la chaîne, puis en disparaissent subitement(32). ”

En réalité, la grande majorité des fossiles de tous types présentent une stabilité sur de longues périodes. Les faits n’indiquent pas d’évolution d’un type à un autre. Des plans d’organisation apparaissent soudainement. De nouvelles caractéristiques aussi apparaissent soudainement. C’est ainsi que les chauves-souris, dotées d’un sonar et d’un système d’écholocation, entrent en scène sans lien apparent avec un ancêtre primitif.

À vrai dire, plus de la moitié des principales formes de vie animale semblent être apparues sur une période relativement courte. De nombreuses formes de vie distinctes se manifestant si subitement dans les archives fossiles, les paléontologues qualifient cette période d’ "explosion cambrienne ”. Où se situe le cambrien ?

On pourrait représenter l’histoire de la Terre par une frise chronologique de la longueur d’un terrain de football. En partant du principe que les estimations des chercheurs sont exactes, il vous faudrait parcourir sept huitièmes du terrain pour arriver au cambrien. Dans le registre fossile, les principales formes de vie animale apparaissent sur une courte partie de cette période. Avec quelle soudaineté ? Avant que vous n’ayez eu le temps de faire un pas, tous ces animaux surgissent sur la frise !

Ce jaillissement de vie incite certains chercheurs évolutionnistes à remettre en question la version traditionnelle de la théorie de Darwin. Par exemple, en 2008, lorsqu’il a été interviewé sur le besoin d’élaborer une nouvelle théorie de l’évolution prenant en compte l’apparition soudaine de nouvelles formes de vie, le biologiste évolutionniste Stuart Newman a déclaré : “ Le mécanisme darwinien utilisé pour expliquer tous les changements évolutifs va, je le crois, être déclassé pour ne devenir qu’un mécanisme parmi d’autres. Et il ne sera peut-être même pas le plus important pour ce qui est de comprendre la macroévolution, l’évolution des transitions majeures entre les types d’organismes(33). ”

DES “ PREUVES ” PROBLÉMATIQUES
Que penser des fossiles utilisés pour démontrer la transformation de poissons en amphibiens et de reptiles en mammifères ? Sont-ils des preuves solides de l’évolution ? En y regardant de plus près, plusieurs problèmes sautent aux yeux.

Tout d’abord, dans les manuels scolaires, les animaux de la chaîne allant des reptiles aux mammifères ne sont pas toujours représentés de façon proportionnelle. Au lieu d’être de taille semblable, dans la réalité certains sont énormes alors que d’autres sont petits.

Un autre problème plus sérieux est le manque de preuves que ces animaux ont un lien entre eux. Selon les chercheurs, des millions d’années séparent souvent les spécimens de la chaîne. Au sujet de ces périodes de temps, le zoologiste Henry Gee explique : “ Les intervalles entre les fossiles sont si immenses que nous ne pouvons être catégoriques à propos de leurs éventuels rapports d’ascendance ou d’origine(34). ”

M. Gordon a remarqué que les fossiles de poissons et d’amphibiens constituent seulement un petit “ échantillon, vraisemblablement peu représentatif, de la biodiversité qui existait dans ces groupes à l’époque ”. Il ajoute : “ Il n’existe aucun moyen de savoir dans quelle mesure, si tant est qu’il y en ait une, ces organismes particuliers étaient importants pour les développements futurs, ou quelles étaient leurs relations entre eux(35). ”

QUE MONTRE VRAIMENT LE “ FILM ” ?
En 2004, un article de National Geographic a comparé les archives fossiles à un “ film de l’évolution dont 999 images sur 1 000 auraient été coupées au montage(36) ”. Voyons ce qu’implique cette comparaison.

Imaginez que vous trouviez 100 images d’un long métrage qui à l’origine en comptait 100 000. Comment détermineriez-vous le scénario ? Supposons que vous ayez déjà une petite idée, mais que seules 5 images aillent dans votre sens, alors que les 95 autres racontent une histoire très différente. Serait-il logique d’affirmer sur la base des 5 images que votre scénario est le bon ? Se pourrait-il que vous les ayez disposées dans un ordre qui appuie votre idée ? Ne serait-il pas plus logique de laisser les 95 autres influencer votre opinion ?

Quel rapport cet exemple a-t-il avec la manière dont les évolutionnistes considèrent les fossiles ? Bien que la grande majorité des fossiles — les 95 images du film — indiquent que les espèces ont très peu changé avec le temps, pendant des années, les chercheurs ne l’ont pas admis. Pourquoi taire ces faits importants ? L’écrivain Richard Morris a noté : “ Apparemment, les paléontologues ont adopté l’idée orthodoxe de l’évolution graduelle et s’y sont accrochés, même lorsqu’ils ont découvert des preuves du contraire. Ils ont tenté d’interpréter le témoignage des fossiles sous l’angle des idées évolutionnistes répandues(37). ”

Que dire des évolutionnistes aujourd’hui ? Se pourrait-il qu’ils continuent à disposer les fossiles dans un certain ordre, non parce que cet ordre est bien appuyé par la majorité des témoignages fossiles et génétiques, mais parce qu’il s’accorde avec les idées évolutionnistes acceptées actuellement ?

Qu’en pensez-vous ? Quelle conclusion cadre le mieux avec les faits ? Résumons-nous :

▪ La première forme de vie terrestre n’était pas “ simple ”.
▪ Les chances pour que les constituants d’une cellule soient apparus par hasard sont infinitésimales.
▪ L’ADN — le “ programme informatique ”, ou code, qui régit la cellule — est incroyablement complexe et témoigne d’une ingéniosité qui surpasse tout programme ou système de stockage d’informations réalisé par des humains.
▪ La recherche génétique montre que la vie ne provient pas d’un seul ancêtre commun. De plus, les fossiles indiquent que les principaux groupes d’animaux sont apparus soudainement.

À la lumière de ce qui précède, pensez-vous qu’il soit logique de conclure que l’explication biblique de l’origine de la vie s’accorde avec les faits ? De nombreuses personnes affirment toutefois que la science contredit une bonne partie du récit biblique de la création. Est-ce vrai ? Que dit réellement la Bible ?

Question 5 : Est-il bien raisonnable de croire en la Bible ?

Avez-vous déjà été induit en erreur au sujet de quelqu’un ? Vous avez peut-être entendu certains parler de lui ou le citer. Vous vous attendiez à le trouver antipathique. Mais, en apprenant à le connaître, vous vous êtes rendu compte qu’on vous l’avait présenté sous un faux jour. C’est ce que beaucoup ont vécu en rapport avec la Bible.

Les personnes instruites ayant une mauvaise opinion de la Bible ne sont pas rares. Savez-vous pourquoi ? Ce livre est souvent présenté ou cité d’une façon qui semble contraire au bon sens et à la science, ou totalement erronée. Serait-il possible que la Bible ait été présentée sous un faux jour ?

En lisant cette brochure, avez-vous été surpris d’apprendre que ce que dit la Bible est scientifiquement exact ? Beaucoup le sont. Et ils le sont tout autant de découvrir que la Bible n’enseigne pas des idées que bien des religions lui attribuent. D’après certains, elle enseignerait que Dieu a créé l’Univers et toute vie qui s’y trouve en six jours de 24 heures. En réalité, rien dans la Bible ne contredit les estimations scientifiques de l’âge de l’Univers ou de la Terre.

De plus, la brève description qu’elle donne de la manière dont Dieu a fait naître la vie sur notre planète laisse les coudées franches à la recherche et aux théories scientifiques. Ce que déclare la Bible, c’est que Dieu a créé toute vie et qu’il a produit les êtres vivants “ selon leurs genres ”. (Genèse 1:11, 21, 24, note.) Ces déclarations s’opposent peut-être à certaines théories, mais pas aux faits établis. L’histoire de la science montre que, si les théories vont et viennent, les faits, eux, restent.

Toutefois, beaucoup de gens hésitent à examiner la Bible parce qu’ils sont déçus par les religions, dans lesquelles ils ne voient souvent qu’hypocrisie, corruption et incitation à la guerre. Mais est-il correct de juger la Bible sur le comportement de ceux qui prétendent la représenter ? Nombre de scientifiques sincères et pleins d’humanité sont horrifiés de voir comment des fanatiques violents se servent de la théorie de l’évolution pour justifier leurs visées racistes. Serait-il correct de juger la théorie de l’évolution sur cette base ? Il serait assurément préférable de l’étudier et de la comparer aux faits.

C’est ce que nous vous conseillons de faire avec la Bible. Qui sait si vous ne serez pas agréablement surpris de constater à quel point ses enseignements diffèrent de ceux de la plupart des religions ? Loin d’inciter à la guerre et à la violence ethnique, elle enseigne aux serviteurs de Dieu à renoncer non seulement à la guerre, mais aussi à la haine qui y mène (Isaïe 2:2-4 ; Matthieu 5:43, 44 ; 26:52). Loin de préconiser le fanatisme et la crédulité, elle enseigne que les preuves sont essentielles à une foi authentique, et que la capacité de raisonner est indispensable pour servir Dieu (Romains 12:1 ; Hébreux 11:1). Loin de réprimer la curiosité, elle encourage à approfondir certains des sujets les plus difficiles et les plus passionnants.

Par exemple, vous êtes-vous déjà demandé : “ Si Dieu existe, pourquoi y a-t-il tant de méchanceté ? ” La Bible répond de façon convaincante à cette question, ainsi qu’à bien d’autres. Nous vous recommandons de poursuivre votre recherche de la vérité. Vous pouvez trouver des réponses captivantes, logiques et fondées sur des preuves concluantes. Et ce ne sera pas un hasard...

1.Comment la vie a-t-elle commencé ?

1. Alexandre Meinesz, Comment la vie a commencé — Les trois genèses du vivant, Belin, 2008, p. 32, 66.
a. Francis Crick, Life Itself—Its Origin and Nature, 1981, p. 15, 16, 141-153.
2. Robert Shapiro, “ Les premiers pas de la vie ”, Pour la science, septembre 2007, p. 44.
a. Nicholas Wade, “A Leading Mystery of Life’s Origins Is Seemingly Solved”, The New York Times, 14 mai 2009, p. A23.
3. Pour la science, septembre 2007, p. 44.
4. Ibid.
5. Hubert P. Yockey, Information Theory, Evolution, and the Origin of Life, 2005, p. 182.
6. “Life’s Working Definition—Does It Work?”, NASA’s Astrobiology Magazine, (http://www.nasa.gov/ vision/universe/starsgalaxies/ life’s_working_definition.html), consulté le 17/03/2009.

2. Existe-t-il vraiment une forme de vie simple ?

7. Steven Schultz, “Nuts, Bolts of Who We Are”, Princeton Weekly Bulletin, 1er mai 2000, (http://www.princeton.edu/ pr/pwb/00/0501/p/brain.shtml), consulté le 27/03/2009.
a. “ Le prix Nobel de physiologie ou de médecine 2002 ”, Communiqué de presse, 7 octobre 2002, (http://nobelprize.org/nobel_prizes/ medicine/laureates/2002/press-fr.html), consulté en anglais le 27/03/2009.
8. Ibid.
9. Encyclopædia Britannica, CD 2003, entrée “Cell”, “The Mitochondrion and the Chloroplast”, intertitre “The Endosymbiont Hypothesis”.
10. Comment la vie a commencé — Les trois genèses du vivant, p. 41, 42.
11. Bruce Alberts, Alexander Johnson, Julian Lewis, Martin Raff, Keith Roberts et Peter Walter, Biologie moléculaire de la cellule, 4e édition, trad. Florence Le Sueur-Almosni, Flammarion, 2004, p. 659.
12. M. G. Katz-Jaffe, S. McReynolds, D. K. Gardner et W. B. Schoolcraft, “The Role of Proteomics in Defining the Human Embryonic Secretome”, Molecular Human Reproduction, 2009, p. 271.
13. Radu Popa, Between Necessity and Probability: Searching for the Definition and Origin of Life, 2004, p. 129.
14. Ibid., p. 126-127.
15. William F. Martin et Miklós Müller, Origin of Mitochondria and Hydrogenosomes, 2007, p. 21.
16. Pat Wolfe, Brain Matters—Translating Research Into Classroom Practice, 2001, p. 16.

3. D’où sont venues les instructions ?

17. Research News Berkeley Lab, (http: http://www.lbl.gov/Science-Articles/Archive/ LSD-molecular-DNA.html), article “Molecular DNA Switch Found to Be the Same for All Life”, contact: Lynn Yarris, p. 1 sur 4 ; consulté le 10/02/2009.
18. Nicholas Wade, Life Script, 2001, p. 79.
19. Bioinformatics Methods in Clinical Research, édité par Rune Matthiesen, 2010, p. 49.
20. Leonard M. Adleman, “ Calculer avec l’ADN ”, Pour la science, octobre 1998, p. 63.
21. B. Ilic, Y. Yang, K. Aubin, R. Reichenbach, S. Krylov et H. G. Craighead, “Enumeration of DNA Molecules Bound to a Nanomechanical Oscillator”, Nano Letters, vol. 5, no 5, 2005, p. 925, 929.
22. Matt Ridley, Génome — Autobiographie de l’espèce humaine en 23 chapitres, trad. Bella Arman, Paris, Robert Laffont, 2001, p. 17, 18.
23. Bruce Alberts, Dennis Bray, Karen Hopkin, Alexander Johnson, Julian Lewis, Martin Raff, Keith Roberts et Peter Walter, L’essentiel de la biologie cellulaire, 2e édition, Flammarion, 2005, p. 201.
24. Biologie moléculaire de la cellule, p. 258.
25. No Ordinary Genius—The Illustrated Richard Feynman, édité par Christopher Sykes, 1994, photo sans numéro de page fourni ; voir la légende.
a. Bob Holmes, “Second Genesis —Life, but Not As We Know It”, New Scientist, 11 mars 2009, (http://www.newscientist.com/article/ mg20126990.100), consulté le 11/03/2009.
26. David Lamb, The Search for Extraterrestrial Intelligence—A Philosophical Inquiry, 2001, p. 83.
27. Richard N. Ostling, “Famous Atheist Now Believes in God”, Associated Press Newswires, 9 décembre 2004.
28. Peter Ulmschneider, Intelligent Life in the Universe, 2e édition, 2006, p. 125.



4. Toutes les formes de vie ont-elles un ancêtre commun ?
29. Malcolm S. Gordon, “The Concept of Monophyly: A Speculative Essay”, Biology and Philosophy, 1999, p. 335.
30. Graham Lawton, “Uprooting Darwin’s Tree”, New Scientist, 24 janvier 2009, p. 34.
31. Ibid., p. 37, 39.
32. David M. Raup, “Conflicts Between Darwin and Paleontology”, Field Museum of Natural History Bulletin, janvier 1979, p. 23.
33. Suzan Mazur, “The Origin of Form Was Abrupt Not Gradual”, Archaeology, 11 octobre 2008, (www.archaeology.org/online/ interviews/newman.html), consulté le 23/02/2009.
34. Henry Gee, In Search of Deep Time—Beyond the Fossil Record to a New History of Life, 1999, p. 23.
35. Biology and Philosophy, p. 340.
36. David Quammen, “ Darwin s’est-il trompé ? ” intertitre : “ Archives fossiles ”, National Geographic, novembre 2004, p. 53.
37. Richard Morris, The Evolutionists—The Struggle for Darwin’s Soul, 2001, p. 104, 105.
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Zeikachi
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MessageSujet: Re: 5 Questions a se poser sur la vie.   5 Questions a se poser sur la vie. Icon_minitimeMar 27 Mar 2012 - 19:00

Mais t'es un grand malade rien que de faire defilé la page pour voir j'en avais deja marre mdr, alors le lire il va me faloir 3 mois xD, je vais lire ca en plusieurs parties, j'ai juste survolé mais ca m'a l'air intéréssant tout de même.
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Réha
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Moi les grande question métaphysique ...
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